En concert il y a toujours #1 : le/la mec/nana qui pue !
J’inaugure une nouvelle série de billet : En concert !. Si vous avez déjà eu l’occasion de lire la BD, l’enfer des concerts par Zep, je vais reprendre un peu le même principe. Bon pour être honnête, je ne me rappelle plus de grand chose, mais je sais que le dessinateur, faisait un listing des gens qu’on croise en concert. Peu importe le concert, il y a toujours les même types de personne. Du coup, au vu du nombre de concert que je fais et de la redondance de certaine personne ou stéréotype de personne, je me suis dit que ça pourrait être sympa cette liste.
En concert, il y a toujours le mec ou la nana qui pue. C’est systématique, le pire c’est quand vous êtes à côté ! Ca se présente sous plusieurs formes. Dans mon cas, je suis tombée sur :
- Nana, jeune, dynamique, mais qui à l’odeur de vieille. Ou plutôt qui met du parfum de vieille. Vous savez ce parfum qui laisse une trainée nauséabonde sur 5 années lumières et qui stagne dans l’air pile au niveau de vos narines ? Bah voila ! Je fini toujours par me déplacer, car les rollants de vieille ça a quand même un effet vomitif assez important.
- Mec, alcoolique, bourré, qui pue la bière. Avec en bonus l’odeur du tabac sec. C’est ultime ça aussi. Surtout que contrairement à la nana susmentionnée, ce mec a tendance à vous coller ou tomber sur vous (forcement quand on tient pas de bout et en plus dans la fosse d’un concert -_-). Ma technique : je le jarte en prenant soin de l’envoyer valser suffisamment loin ou fort pour qu’il colle quelqu’un d’autre. Car généralement cette personne vous colle, alors que vous êtes tout devant lors d’un concert que vous ne rateriez pour rien au monde !
Si vous avez d’autre forme du mec/nana qui pue, n’hésitez pas à les signaler !
Helran
classe de neige
18 décembre 2009 - 11 h 14 min
y a pire, c’est le couple de la nana qui pue la vielle mariée avec un mec imbibé de bière. faut dire qu’ils vont bien ensemble 🙂
Sinn
16 janvier 2010 - 8 h 18 min
Y’a aussi version aisselles pas fraiches; l’odeur d’oignon frit froide!
(et au pire, dans les fests, en plein été, la version « moule qui refoule du goulot »)