J’avais envie de me faire un livre court entre une grosse lecture et je suis tombée sur l’autobiographie, Chroniques de l’asphalte, tome 1 : Le temps des tours de Samuel Benchetrit. Conclusion : mouais bof. Je n’ai pas spécialement été emballé par son livre qui raconte son enfance dans une cité. Il passe d’anecdotes en anecdotes, certains marrantes, d’autres troublantes et d’autres qui m’ont laissée indifférente ou ennuyantes. Aussi le style est assez plat et fade. Non pas que je cherche du grand art en matière de style d’écriture, bien au contraire, mais celui-là, ne m’accroche pas du tout. Les dialogues sont vraies, comme on pourrait les dirent ou entendre, donc de ce côté c’est ok. Mais c’est entre les dialogues, les parties récits/narrations que j’ai trouvées ennuyeuses et dont le style m’a lassée par sa fadeur. C’est le cas notamment pour deux des anecdotes, que j’aurais zappées en plein milieu, si elles n’avaient pas été courtes.
Pas captivée dans l’ensemble malgré quelques anecdotes assez drôles, peut être le style que je trouve fade, qui ne m’aide pas à apprécier ce livre. Ou peut-être qu’ayant grandi dans une cité, je ne me suis pas retrouvé dans ses clichés (ceci dit, surement vrais pour certain), donc forcément, ça n’aide pas non plus. Bref, l’ensemble ne passe pas et je ne pense pas lire la suite.
Helran