J’avais adoré la stratégie d’Ender, je n’ai pas du tout apprécié La voix des morts, le 2èm tome du cycle d’Ender d’Orson Scott Card.

Synopsis
Trois mille ans se sont écoulés depuis l’extermination des Doryphores, et les hommes se croient désormais seuls dans l’univers. Or, sur la planète Lusitania, on découvre l’existence des Piggies, bipèdes mi-hommes mi-cochons doués d’intelligence.
Des scientifiques sont détachés pour les étudier mais, sans mobile apparent, ils sont assassinés.
L’humanité s’interroge: doit-on s’inquiéter de cette nouvelle menace, et la détruire ?
Afin de rendre hommage aux victimes, on convoque un porte-parole des morts.
Mais voilà, dans ses bagages se trouve un cocon où vit la dernière reine des Doryphores.
Car cette homme n’est autre qu’Ender, le Xenocide…

Si je ne l’ai pas aimé, c’est parce que j’ai trouvé le rythme beaucoup plus lent que le premier tome, en plus d’être entouré de personnage pas si intéressants ou charismatiques, évidement ce n’est pas le cas de tous. Aussi, j’y ai trouvé pas mal de répétition qui ont gênées ma lecture (notamment les répétitions sur l’aspect religieux du livre, par exemple).

Finalement c’est dommage, car j’ai aimé l’histoire de la découverte des piggies, du descolada, l’idée d’éviter de répéter l’histoire (cf l’extinction des doryphores dans le tome 1) etc., il y a donc de bonne chose dans ce roman tout de même. Mais les répétitions et le rythme lent ont été de trop et ont fait que je n’ai pas apprécié cette lecture. Je vais tout de même continuer pour voir ce qui va se tramer par la suite, car j’ai l’impression que ce tome, au rythme lent, est une sorte de tome introducteur SPOILER (introduction des piggies, du virus et de la cohabitation) à des évènements plus large. On se doute que tout ne saura pas si rose. SPOILER