Suspensions corporelles dans le métro

J’ai loupé l’événement metroesque de l’année, en même temps, je prends rarement le métro, mais heureusement que le journal Metro nous montre une photo du dit événement :
Un type qui fait des suspensions corporelles dans le métro, normal.

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Tondeuse pour femme à barbe

Dès fois, je ne comprends pas tous aux pubs et stratégies marketings, et je pense que c’est le cas avec cette vitrine d’un magasin d’accessoire de coiffure sur Helsinki. Est-ce que l’idée est de vendre des tondeuse pour femme à barbe ? Je ne sais pas. Car, le mannequin à barbe, c’est bien la tête de femme, quand bien même, ça ressemble à des cheveux, pas à une barbe. Bref, je ne comprends pas tout là.

Helsinki femme à barbe

De A à Z ou de A à Ö

L’alphabet diffère selon les langues, du coup, certaines expressions aussi.
Je disais à P. que je devais monter seule un projet de A à Z. Ce à quoi, il me répond : Pourquoi seulement de A à Z et non de A à Ö.
L’alphabet finnois va de A à Ö, Ö se dit comme l’on prononce la lettre E en français. Dit comme ça, ça sonne bien plus court comme projet/expression.

Hesburger (équivalent McDo) fait du kebab

Le kebab n’est plus exclusif aux restos turcs, on en trouve aussi dans les fast food à hamburgers, comme Hesburger en Finlande, qui est le concourant du McDonald’s. (Bon maintenant il y a le Burger King et son steak d’angus, qui fait aussi office de choix à Helsinki.)
Franchement, quitte à manger un doner kebab (j’aime pas ça), je préfère aller au Kamppin Pippuri.

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P.s. : J’y suis allée pour me prendre un lassi banane-fraise. Je n’aime pas leurs hamburgers.

Produits dérivés Angry Birds

J’avais commencé à collecter les produits dérivés Angry Birds que je trouvais sur translational momentum, un blogspot que j’avais fait pour poster des photos ou pensées rapides de mes vagabondages sur Helsinki. Du coup, je vais mettre les articles sur ce blog et faire un post unique sur ces fameux produits dérivés.

Cette liste est non exhaustive, d’autant plus que je me souviens avoir pris d’autres photos de vêtements, rouge à lèvre (ou truc du genre) etc. J’agrandirai la liste si je les retrouve.

  • Le café Angry Birds

Café angry birds Café angry birds Café angry birds

  • Les produits de soin du corps : shampoings, gel douche et savons.

soin de beauté angry birds

  • Les bonbons et chewing-gum

bonbons angry birds bonbons angry birds

produits dérivés angry birds produits dérivés angry birds

  • Les sodas

Soda angry birds Soda angry birds

Compte-rendu du voyage à Budapest fin août 2014

Du 26 au 31 août 2014, j’étais à Budapest en Hongrie pour un congrès de physiologie où j’avais une présentation orale à faire.

Honnêtement, comme ça, Budapest ou la Hongrie, ne faisait pas partie des villes que je voulais absolument visiter. Je ne dis pas non à aucune ville, mais ce n’était pas une priorité. Mais dans le cadre de mon challenge « je visite toutes les capitales d’Europe », j’ai tout de même été contente d’y aller. Quelle ne fût pas ma surprise en découvrant que j’apprécie beaucoup Budapest.

Au début, lorsque j’ai débarqué dans la ville, j’ai trouvé ça ultra moche, en plus de puer les égouts comme pas possible. C’est toujours mon sentiment, mais je m’y suis faite à l’aspect post-apocalyptique de Budapest (surtout Pest) et ses bâtiments qui tombent en lambeau car ils n’ont jamais été rénovés depuis (enfin je suppute vu leurs états). Bref, c’est moche et ça pue mais qu’est ce que je m’y suis sentie bien (hors le coup du « je me retrouve à l’hosto en urgence).

J’avais prévu un petit programme sympa : grottes à visiter, musée de la pharmacie et celui du l’évolution de la médecine, ainsi que l’hôpital construit dans un bunker. Manque de pot, mon pancréas m’a fait un caca nerveux et s’est enflammé comme un fou, donc au lieu de visiter un vieil hôpital dans un bunker, j’ai visiter un vrai, de nuit avec voyage en ambulance compris. Ceci dit, j’ai tout de même pu visiter la grotte de Palvolgyi, c’est vraiment un truc fascinant à faire. Ca dure environ 1 heure, il y a des escaliers et échelles mais c’est faisable par tous (hors claustrophobique ou personne à mobilité réduite). Il y a un autre chemin à visiter dans cette cave mais, il me semble, que c’est plus sportif et ça dure 3 heures. Voici deux photos, la première me fait penser à un vagin (dégoulinant), la seconde à un colon (pas l’explorateur qui se pose en terre, mais ce dont le trou est l’anus), mais c’est peut être mon esprit pervers qui voit des trucs cheloux, le reste est sur flickr (bon j’ai fait ça à l’arrache, les photos ci-dessous sont en faite des téléchargement de ce que j’ai mis sur twitter, elles sont meilleurs sur flickr, mais rien de ouf non plus).

Cave Palvolgyi Budapest

Cave Palvolgyi Budapest

D’ailleurs en parlant d’anus et de colon, les papiers toilettes de Budapest sont les pires que j’ai pu utiliser, et le pq et moi c’est une longue histoire d’amour. D’ailleurs ça me rappelle le coup des chiottes d’un bar un peu style « lounge », mais c’était le seul qui proposait des cocktails sans alcool et milkshake, parce que lorsque l’on ne boit pas, c’est pas évident de trouver un bar où boire autres choses que du soda. Bref, donc après avoir mangé une pizza dégeue trop salée et bu plusieurs verres, je suis allée aux W.C. Horreur et damnation, j’ai une diarrhée indescriptible qui, à la seconde près, aller se retrouver dans mon pantalon. Bref. Je chie liquide tout en twittant vu que j’avais un accès wifi depuis les chiottes (le progrès). En cours de route la catastrophe commence. Ce sont des toilettes avec détecteurs de mouvement pour la lumière, sauf que l’angle mort, c’est justement le trône et même en gesticulant dans tous les sens, impossible de la rallumer et vu le bazar que j’ai fait, je n’allais pas me lever! Bon, je finis mon affaire à la lueur de mon téléphone et là triple horreurs et damnation. Il n’y avait plus de papier toilette, j’étais dans le noir et pas de réseaux pour appeler à l’aide. J’ai fini par réussir à envoyer un sms à P. dans un sursaut de réseau téléphonique. Il m’a répondue, sauf que j’ai reçu le sms un quart d’heure plus tard. Il a fini par descendre pour venir me libérer. Ouf. Je vais me laver les mains…. il n’y avait plus de savon, pas même dans les chiottes des mecs. Autant vous dire que je suis vite aller à l’hôtel sans tarder. Heureusement, ce n’était pas très loin. Par contre, il semble que la pénurie de PQ et de savon soit un facteur assez commun avec d’autres bars. J’étais à une soirée punk des années 70 au bar Vittula et j’ai du rentrer chez moi pour chier (oui oui, j’avais des problèmes de digestions apparemment).

En parlant d’hôtel, j’avais un super studio-hôtel en centre ville (au niveau de la rue Muzeum ktr) qui s’appelle Central Muzeum Budapest et c’était super. Le studio est grand (avec jaccuzi pour ceux qui kiffent) et propre. Il est insonorisé par rapport au bruit de dehors, mais pas entre chambre, ceci dit, nos voisins n’ont pas fait de bruit pendant que j’y étais (et réciproquement), donc j’ai bien dormi dans un lit confortable. Studio équipé de gazinière (mais sans le four, en même temps, je ne suis pas allée à Budapest pour cuisiner du baeckeoffe), micro-onde, frigo, LAVE LINGE!, bouilloire, etc. Ca vaut vraiment le coup d’y jeter un œil si vous avez prévu d’aller à Budapest prochainement.

Pour en revenir à Budapest, j’ai vraiment aimé flanner dans les rues, c’est rempli de boulangeries-viennoiseries ouvertes jusqu’à pas d’heure pour certaines. Les transports en commun sont les meilleurs que j’ai pu utiliser. Le réseau bus-tram-métro-train est très bien développé, passe très souvent et toute la nuit. Enfin, la vie nocturne est présente, les terrasses remplies les week-ends. Le wifi est présent dans quasi tous les bars/restaurants. Bref, une ville pleine de vie et moderne dans une architecture non rénovée.

boulangerie française budapest

Sinon, en truc sympa à visiter (vu que je n’ai pu faire ce que j’avais de prévu hormis la grotte), le château vaut le détour. Pas vraiment pour le château en lui même (enfin si, pour ce qui kiff), mais pour la vue que l’on a depuis ses hauteurs. On peut contempler Buda et Pest (ainsi voir les différences géologiques et architecturales) ainsi que le Danube. Un truc à faire de jour comme de nuit.

Aussi, j’ai eu l’occasion de manger dans un petit restaurant hongrois. J’ai eu l’impression de me retrouver dans un resto alsacien, vu que j’y ai mangé des spaetzles avec un ragoût de poulet. C’était bon. Mais le resto, le patron et le plat m’ont fait penser à l’Alsace.

Enfin, je n’ai pu faire tout ce que je voulais, mais j’ai bien l’intention d’y retourner pour rattraper ça. Quoi qu’il en soit, les 5 jours à flanner (et shoppinger dans un magasin de jeux de plateau) dans Budapest furent bien sympa.

Voici une photo de BUDA, la partie Buda est assez « montagneuse », contrairement à la partie Pest qui est plate.

BUDA

Deux photos de PEST

Pest Pest

Pour finir, j’ai découvert par un pur hasard, LE BAR MANOWAR. Le vrai nom du bar est Café Montmartre, mais le patron est un gros fan de Manowar (pire qu’une pré ado fan de boysband). Pour preuve, la déco, je vous laisse deviner quel groupe de zik il diffusait:

bar manowar budapest bar manowar budapest bar manowar budapest

Je suis ceinture orange d’Haidong Gumdo

J’avais passé la ceinture jaune, il n’y a pas si longtemps que ça. Me voici ceinture orange depuis quelques mois, je l’ai passée juste avant les vacances d’été. Combo 2, Sortie de sabre 2, Duel 2, Extinction de bougie (15 essaies max) et test d’endurance avec 2 min et demi à tenir dans la position du Kimase. Quest succeed!
Prochaine étape, la ceinture verte!

[Image] Erreur série TV : The Lottery qui confond virus/bactérie

Si vous êtes microbiologiste et souhaitez rire un bon coup, regarder la fin de l’épisode 3 de la série (pourrie…) The Lottery. Voici le délire en image. Sinon quelques pourrait leur dire que la peste bubonique est dû à la bactérie Yersinia pestis et non à un virus.

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[Vidéo à voir absolument] TED de Elizabeth Loftus sur les inventions de la mémoire

Une vidéo de très haute importante qui devrait être diffusée partout et vue par tous. C’est le TED de Elizabeth Loftus sur les inventions de la mémoire (false memory). Son discours est très bien fait et très compréhensible même pour les néophytes en sciences. Elle explique très bien pourquoi le témoin visuel ne devrait pas être utilisé pour résoudre des crimes et inculper des gens. Aussi, elle va encore plus loin en expliquant comment type de psychiatrie instaure de fausse mémoire au détriment du patient et en quoi c’est mauvais. Enfin, elle nous explique ces recherches sur les fasses mémoires, la façon d’en instaurer, la manipulation des gens via ses fausses mémoires et donc en quoi cela peut être dangereux.

La vidéo est en VOSTFR (mais vous pouvez choisir une autre langue de sous-titre.

J’ai effectué un achat par NFC à Helsinki

L’achat par NFC commence à se développer en Finlande. En fait, je pensais qu’elle était très bien développée, car la majorité des magasins et supermarchés sont dotés des terminaux de carte bancaire qui font aussi NFC (communication en champ proche / near field communication), mais j’ai découvert, hier, qu’ils ne sont pas activés pour là plus grande majorité d’entre eux.

Depuis hier, j’ai mon sticker NFC associé à un compte e-wallet. Ce sticker me permet de payer par NFC là où cette technologie est activée et avec l’objet où j’ai collé le sticker (oui techniquement, je peux payer avec ma chaussure, mais j’aurais bien l’air con à enlever ma chaussure et la poser près du terminal de carte bancaire au supermarché).

En annonçant cette information sur twitter, @swisstengu m’a donnée son opinion sur le sujet. En résumé, il n’aime pas ça, c’est mal sécurisé. Autant, je suis d’accord avec le côté « c’est mal sécurisé », bien que techniquement, rien ne soit in-hackable, on peut se faire pirater aussi sa carte de crédit. Autant, je n’ai rien contre le paiement par NFC, bien au contraire, et je suis contente de faire partie du petit groupe de la population finlandaise qui paye ainsi.

Deux choses : le côté pratique et le côté sécurité. Puis je vous parlerais du service Elisa et de ce fameux sticker.

Le côté pratique

D’une part, ce moyen de paiement m’est réellement pratique. Non seulement il m’arrive d’oublier ma carte bancaire chez moi (bon rarement, certes), mais aussi, je ne l’utilise pas tous les jours où alors pour de petites sommes. Je préfèrerai donc la laisser à la maison, sauf que je ne sais jamais quand je vais en avoir besoin. En même temps, j’ai toujours mon portable sur moi et très souvent en main (je lis des e-books dessus par exemple), en gros, je m’en sers constamment. Du coup, l’idée de payer avec mon téléphone portable (ou autre, vu que c’est un sticker, mais j’en parle plus tard) est une chose que j’ai toujours souhaitée (non, en fait, je souhaite un implant sous-cutané, qui me permettrait de payer avec la main/doigt, en plus d’avoir certaines données, mais ça, c’est un autre sujet). Je peux maintenant le faire (dans un nombre d’endroits limité pour le moment, mais d’après les articles de presse, ça va se développer). Ce fut d’ailleurs le cas, aujourd’hui, au restaurant universitaire. Pas besoin de sortir ma carte bancaire et en plus, j’avais déjà le phone dans la même. Pratique et rapide.

Le côté sécurité

D’autre part, le côté sécurité est un réel problème. Je ne m’y connais rien, donc ne m’en demandez pas plus et je crois Cédric sur ce point. Sauf que, je ne suis pas totalement inconsciente de ces problèmes de sécurité et c’est pour quoi, j’ai préféré passé par Elisa pour avoir le fameux sticker NFC associé à un compte Elisa e-wallet plus tôt que de demander à ma banque de me fournir une carte bancaire NFC compatible. Pour deux raisons. La première est que je souhaite me débarrasser de mes cartes. Donc, je ne vois pas l’intérêt d’avoir une carte bancaire compatible NFC, si je dois, quoi qu’il arrive, utiliser cette fameuse carte bancaire. La deuxième, et la plus importante, est que je ne souhaite pas associer un compte lié à un sticker/e-wallet NFC à ma banque/carte bancaire. La simple et bonne raison est que si la carte bancaire compatible NFC est hackée, le hackeur peut potentiellement (supposition) avoir accès aux données de la carte, à savoir : date de validé, numéro, nom, code sécurité. Je ne souhaite donc absolument pas de carte bancaire qui fasse en même temps NFC et j’espère que ma banque ne va pas l’imposer !

Du coup, pour approvisionner mon compte e-wallet, j’ai juste à faire un transfère bancaire sur ce compte. Ainsi, si une personne me hack via NFC, il n’aura aucune donnée sensible ou liée à mon compte/carte bancaire. Vu que les deux ne sont pas liés.

Dans la pratique

Dans la pratique, Elisa m’a donné un sticker NFC associé à un compte Elisa e-wallet. Ce sticker, je le colle où je veux et je paye avec. Pour le moment, le montant maximum de paiement est de 25euros et pas besoin de faire un code pin. Il compte augmenter cette valeur (mais avec code pin) prochainement. Je suppose donc qu’ils sont en phase de test, peut être vérifient-ils la sécurité de ce moyen de payement, etc. (Si j’ai bien suivi, ma banque, qui propose la carte bancaire compatible NFC, permet le payement supérieur à 25euros, mais il faut faire son code pin.)

Combien coûte ce service

Ça ne coûte pas grand-chose, en fait, je paie uniquement 0.22 euro (22 cents) par transfert d’argent de ma banque vers le e-wallet. Que ce transfère bancaire (moyen de paiement très courant en Finlande, en général) soit de 1 euro ou de 1000 euros (montant maximal que la e-waller d’Elisa puisse contenir), j’aurai 0.22 euro seulement à payer par transfère. C’est tout ! (Bien sûr, si je perds ou demande un autre sticker, cela me coûtera 5 euros.)