[Livre] Jésus contre Hitler, épisode 1 : Zombies nazies en Sibérie de Neil Jomunsi

Un ebook m’a interpellée par son titre, Jésus contre Hitler, épisode 1 : Zombies nazies en Sibérie de Neil Jomunsi. Je me suis dit, chouette encore une histoire tirée par les cheveux et c’est effectivement le cas. Après avoir vu Iron Sky et Nazis at the center of earth, sans compter les autres films dont le titre était tout autant loufoque, je ne m’attendais à rien de spécialement original avec ce livre, juste à passer du bon temps. Car ce livre est plus de l’ordre du divertissement second degré que de l’ordre de l’originalité.

Au niveau de l’histoire, je ne vais pas vous copier /coller la description du livre par l’éditeur, car elle vous spoile totalement le livre. C’est l’histoire de David Goldstein qui se fait recruter par un certain John chef de l’agence B (une sorte de service secret qui enquête sur des phénomènes paranormaux et étranges). La première mission de David est, avec John, d’aller voir ce qui se trame en Sibérie et empêcher Hitler de créer une armée de zombies.

Le style est sympa à lire, comme le livre, j’ai donc dévoré ces 100 pages rempli d’humour et de «n’importe nawak ». Concernant le scénario, tout est prévisible et beaucoup de moments et scènes m’ont rappelée d’autres livres et films. C’est donc un divertissement sympa, sans prise de tête et, sans le prendre méchamment, il ferait un bon nanar-popcorn adapté en film.

Je vous conseille d’y jeter un œil pour vous y faire une idée, surtout que ce premier épisode est gratuit et sous différents formats et sites (epub, apple, amazon etc)

[Challenge littéraire] A la découverte de vos incontournables

Quoi encore un challenge ! Bah oui, maintenant que je n’arrive plus à me séparer de mon Pocketbook touch, j’en profite pour m’inscrire à des challenges qui me tentent bien. Celui-ci s’appelle A la découverte de vos incontournables proposé par hylyirio sur livraddict.

Le but étant de lire des livres parmi une liste d’auteur incontournables et de cumuler le plus de point sur un an (jusqu’au 1 aout 2012). Chaque premier livre d’un auteur = 5 points, le second = 3 points, les suivants = 1 point.

Les 50 auteurs incontournables d’après les twitteurs qui ont répondu à la question de l’organisatrice de ce challenge:

ARMSTRONG, Kelley
BAILLY, Othilie
BARCLAY, Linwood
BARJAVEL, René
BARKER, Clive
BAUWEN, Patrick
BOTERRO, Pierre
CABOT, Meg
CHATTAM, Maxime
CHRISTIE, Agatha
CLEMENS, James
COBEN, Harlan
COELHO, Paulo
COOK, Robin
DE ROSNAY, Tatiana
FITZEK, Sebastian
FOLLET, Ken
GAVALDA, Anna
GRANGE, Jean-Christophe
GRANT, Michael
HARRIS, Charlaine
HAYDER, Mo
HIGGINS CLARK, Mary
HUGO, Victor
JAMES, Peter
JOMAIN, Sophie
KING, Stephen
KINSELLA, Sophie
KOONTZ, Dean
LEVY, Marc
MASTERTON, Graham
MEAD, Richelle
MUSSO, Guillaume
NOTHOMB, Amélie
PATTERSON, James
PERU, Olivier
PRESTON & CHILD
ROBILLARD, Anne
ROWLING, JK
RUIZ ZAFON, Carlos
RULE, Ann
SIRE CEDRIC
STENDHAL
TEULE, Jean
THILLIEZ, Franck
VARGAS, Fred
VOLTAIRE
WERBER, Bernard
ZOLA, Emile
ZWEIG, Stefan

Dans la liste, il y en a énormément que je comptais lire comme Gattaca de Thilliez, ainsi que découvrir des auteurs comme Hayder dont j’en ai entendu pas mal de bien et revoir des classiques avec Voltaire.

Je pense que j’en ai pas mal à lire là, avec tous les challenges que je compte faire.

[Livre] Le banquier anarchiste de Fernando Pessoa

Je viens de finir un court livre d’une centaine de page nommé Le banquier anarchiste de Fernando Pessoa. Le titre m’a interpellé (et en plus c’est un auteur portugais, donc ça colle très bien avec mon challenge « le tour du monde en 8 ans »), banquier – anarchiste ?! J’ai donc commencé à le lire.

C’est un dialogue entre deux hommes, dont un explique comment et pourquoi, il est devenu anarchiste et comment il l’est de théorie et de pratique. Au départ, j’ai été très perplexe, je n’avais pas envie de tomber sur un « anarcho » à la noix, sans cervelle ni réflexion comme on en trouve beaucoup ; et bien, j’ai vite réalisé que le personnage de ce livre n’est pas du tout de cette catégorie.

Ce banquier anarchiste mène une réflexion sur ce qu’est l’anarchisme et comment y arriver. Il explique qu’instaurer une anarchie progressivement n’est pas possible, car elle passe par un régime révolutionnaire qui mène in fine à une dictature de guerre ou un équivalent, en argumentant avec des moments historiques connus. Point par point, il explique aussi que les groupes d’anarchiste (dont il a fait partie) ne pourront jamais amener une anarchie, un état libre, car sans le vouloir au sein de leur groupe, il instaure une tyrannie, qui est contraire au principe anarchique. Au final, il l’est traite de bon à rien et de pseudo anarchiste. Puis il nous explique comment il est anarchiste théorique et en pratique (je ne vais pas tout vous spoiler). Au final, j’ai eu l’impression que finalement, être anarchiste dans son sens c’est aussi être égoïste, car d’après lui, son raisonnement et la façon dont il est anarchiste, les groupes anarchiques ne peuvent réussir et c’est seulement en agissant chacun dans son coin que cela est possible.

Quoi qu’il en soit, j’ai apprécié cette réflexion et argumentaire. Je suis d’accord sur plusieurs points qu’il dénonce, moins avec d’autre (principalement lorsqu’il dit « Il fallait trouver un mode d’action, violent ou non (car tout moyen est légitime contre l’injustice) » sauf qu’en fonction des gens/états/groupes le mot injustice ne désigne pas la même chose, certain trouveront quelque chose d’injuste alors que d’autre non, puis de quelle justice/injustice parle-t-on, politique? religieuse ? loi juridique ? etc dans ce cas là et en extrapolant, les actes terroristes sont légitimes, car elle combat ce qu’eux pensent être une injustice), je trouve son analyse pertinente et réaliste. Il a le mérite de mettre au point certaine idée sur l’anarchisme et les « anarchistes » qu’on croise souvent dans les rues à nous interpeller. C’est un livre qu’il faudrait mettre entre toutes les mains de personne se disant « anarchiste », ce qui s’intéresse à la politique en général et finalement tous les curieux, histoire d’amener sa propre réflexion sur le sujet de l’anarchisme à partir de celle du narrateur.

Voici quelques citations du livre :

  • La dictature révolutionnaire ! [...] Mais si, à la suite d’un événement soudain, la révolution sociale se trouve un jour réalisée, alors, à défaut de la société libre (car l’humanité ne peut pas y être déjà préparée), on verra s’installer à sa place la dictature de ceux qui veulent précisément instaurer la société libre. [...] Un régime révolutionnaire, dès lors qu’il existe, et quel que soit le but qu’il vise ou l’idée qui l’inspire, n’est, matériellement, qu’une chose et une seule : un régime révolutionnaire. Or, un régime révolutionnaire est l’équivalent d’une dictature de guerre ou, en termes plus clairs, d’un régime militaire et despotique, puisqu’il est imposé par une fraction de la société à la société tout entière ; je parle de la fraction qui s’est emparée révolutionnairement du pouvoir. Résultat ? Eh bien, ceux qui s’adaptent à ce régime – qui n’est, de façon matérielle et immédiate, qu’un régime militaire et despotique – s’adaptent du même coup à un régime militaire et despotique. Autrement dit, l’idée qui inspirait les révolutionnaires, le but qu’ils visaient, ont totalement disparu de la réalité sociale, envahie complètement par un phénomène qui relève de la guerre. Finalement, ce qui sort d’une dictature militaire – et plus longue sera cette dictature, plus évident sera le résultat -, c’est une société guerrière de type dictatorial, c’est-à-dire un despotisme militaire. Il en a toujours été ainsi, et il ne peut en aller autrement. Je ne suis pas très fort en histoire, mais ce que j’en sais confirme ce que je dis, et ne peut que le confirmer. Qu’est-ce qui est sorti des troubles politiques à Rome ? L’Empire romain et son despotisme militaire. Qu’est-ce qui est sorti de la Révolution française ? Napoléon et son despotisme militaire. Et vous verrez ce qui sortira de la Révolution russe… Quelque chose qui va retarder de plusieurs dizaines d’années la naissance de la société libre
  • Que veut l’anarchiste ? La liberté ; la liberté pour lui et pour les autres, pour l’humanité tout entière. Il veut se voir libéré de l’influence ou de la contrainte des fictions sociales ; il veut être libre, comme il l’était en venant au monde, et comme il devrait l’être en toute justice ; et cette liberté, il la veut pour lui-même et pour tous les autres. Certes, les hommes ne peuvent pas être tous égaux devant la Nature ; il en est des grands et des petits, des forts et des faibles, il en est d’intelligents et d’autres qui le sont moins… Mais pour le reste, ils peuvent tous être égaux entre eux ; ce qui les en empêche, ce sont les fictions sociales, et c’est donc elles qu’il faut détruire.
  • Or, au cours de cette campagne de propagande dont je vous ai parlé, j’ai découvert que dans ce groupe – oh, peu nombreux : nous étions une quarantaine, à peu près – apparaissait cependant de la tyrannie. – De la tyrannie ? Comment cela, de la tyrannie ? – Vous allez comprendre. L’un de nous se mettait à commander aux autres, et en faisait tout ce qu’il voulait ; ou bien il s’imposait, et obligeait les autres à être tels qu’il les voulait, ou bien il les poussait, par ses manigances, à faire toutes ses volontés. Il ne s’agissait pas de choses importantes – d’ailleurs, il n’y en avait pas. Mais le fait est là : cela se répétait tous les jours, et ne concernait pas seulement notre action de propagande, mais aussi des faits sans rapport avec elle, et même les plus petits faits de la vie ordinaire. Certains tendaient insensiblement à devenir des chefs, et les autres des subordonnés. Certains s’imposaient de force, d’autres par de savantes manœuvres. Cela se voyait jusque dans les choses les plus simples. [...] c’est exactement le contraire de la doctrine anarchiste.

[Challenge littéraire] Détectives en herbe (1 septembre 2012-2013)

Oui, encore un challenge ! Et oui, j’aime me lancer des défis littéraires avec cette fois ci le challenge Détectives en herbe de BouQuiNeTTe sur livraddict.

Le but de ce challenge étant de lire le plus de livres jeunesses (jeune à ado) policier entre le 1er septembre 2012 et le 1 septembre 2013. Il y a 3 grades :

1 à 5 livres : Loupe de Poche
5 à 10 livres : MiniDétective du Dimanche
10 livres et + : MiniSherlock

Je me suis inscrite dans la catégorie MiniSherlock. Comme il est possible de cumuler les challenges, j’ai pris de suite le plus grand grade, soit lire 10 livres ou plus, en espérant le réussir.

[Livre] Bruxelles ou la grosse commission de Manu Causse

Grâce à Onlit éditions, j’ai pu lire Bruxelles ou la grosse commission de Manu Causse et je ne sais pas si j’ai aimé ou non, si j’ai trouvé ce livre drôle ou pas.

C’est l’histoire d’un type exécrable, beauf et raciste qui se retrouve à Bruxelles, car sa femme y est en déplacement professionnel. Il décide alors de visiter la ville à la recherche de monument historique, sauf qu’une envie d’aller faire caca l’empêche de faire cette visite. Son but étant de trouver au plus vite un café ou bar pour y faire sa grosse commission. Il va donc nous faire part de ces pensées tout le long de son périple à la recherche de toilette.

La partie « tribulation dans Bruxelles pour trouver des chiottes » est drôle, ses réflexions le sont moins. Il déteste Bruxelles, il est rempli de préjugé à la con, il est raciste etc. C’est de l’humour noir, exemple, il traite un jeune issue de l’immigration de racaille car il a une capuche… euh ok, et en plus il trouve ca surprenant que « cette racaille » l’aide à trouver sa route et poliment. Aussi il se plaint de l’immigration et des arabes alors que lui-même est étranger dans ce pays (bon touriste dans ce cas-là) etc. Sauf que cela ne m’a pas fait rire, car il m’a fait tellement penser à ces beaufs demeurés et hautement racistes qui ne sont jamais sortie de leur patelin (et oui j’en connais, ça fait peur à voir et à entendre) et honnêtement leur connerie ne me fait plus rire du tout. Du coup, j’ai eu du mal a apprécier ce livre et son humour noir.

Cette nouvelle de 54 pages est à 1.99 euros sur le site de Onlit éditions et sous différent format et sans DRM.

[Livre] Les aventures de Bel-éclair et Houla de Boris Tzarpenko

Un peu par hasard, je me suis retrouvée à lire les aventures de Bel-éclair et Houla de Boris Tzarpenko. D’après l’image, on croirait à un conte pour en fait, mais queneni, c’est bien pour adulte. Non pas qu’il est de la violence dans ce livre de 25 pages, mais parce que c’est une excellente parodie des contes de chevalier et de princesse, avec des références en tout genre (SF, technologie (le bâton du sorcier Ardouère s’appelle Softouêre xD), sur le langage d’aujourd’hui etc). Donc en gros c’est de l’humour et de la parodie super bien réalisées. Bon, vous pouvez toujours le faire lire à vos enfants, mais préparez vous à répondre à la question « ça veut dire quoi libido? » et je ne suis pas sur qu’ils comprennent vraiment les subtilités de ce livre.

Le style est direct et de type oral, c’est rempli d’humour du début jusqu’à la fin, et durant ces 25 pages, je me suis bien poilée sur cette histoire, atypique et original, de chevalier à dos de son cheval, qui doit sauver la princesse du dangereux dragons, dont ce dernier est sous les ordres d’un sorcier. Je n’attendais rien de spécial de cette lecture et j’en suis sortie morte de rire avec un grand sourire aux lèvres tellement que ce livre est énorme (malgré ses 25 pages). Il y a un deuxième tome de ces aventures, qu’il faudrait que je lise d’ailleurs.

Bonne nouvelle pour vous, il est possible de trouver cet ebook gratuitement et légalement sur le site de la Fnac (alors qu’il est à 0.89 euros sur le site d’Amazon Oo) au format epub ! Mais quoi qu’il arrive, vous pouvez aussi le trouver gratuitement et avec d’autre de ses nouvelles, sur le site de l’auteur et en différent format (epub, mobi, pdf), enfin, vous pouvez le lire directement sur votre browser via le site smashwords. Donc vous aurez compris, je vous conseille vraiment cette petite nouvelle.

[Livre] Principe de précaution de Matthieu Jung

Dans le cadre du challenge ABC 2012, j’ai eu besoin d’un auteur qui commence par la lettre J et je suis tombée sur Principe de précaution de Matthieu Jung. Sujet d’ailleurs hautement intéressant.

Sauf que malheureusement cette lecture fut catastrophique, horrible et éprouvante pour moi, tellement que ce livre est insipide tant dans la forme que dans le fond. Au bout du premier chapitre, je n’en pouvais déjà plus. J’ai tenu jusqu’au 5 ème, puis j’ai fini par sauté des pages et lire en diagonale tellement que ce livre est imbuvable et ennuyeux.

C’est l’histoire de Pascal, un père de famille, 2 enfants dont un ado chieur, qui bosse comme trader pour une boite qui doit fusionner avec un autre groupe et donc entraîner un plan social, et il ne peut plus supporter son collègue obsédé sexuel, raciste, beauf, misogyne et sexiste à souhait.

Je me suis toujours dit qu’il était possible de rendre une histoire intéressante à partir d’élément basiques, tout est une question de narration et de créativité. Sauf que là, ni l’un, ni l’autre ne sauve le livre.

Concernant le fond, Pascal, le personnage principal est tellement ennuyeux et il a le charisme d’une toilette turque. Franchement suivre sa vie insipide et platonique à lire des faits d’hiver de crimes familiaux, écouter son collègue qu’on a envie d’écarteler et le voir essayer de discuter avec son ado en pleine période rebelle en devient plus qu’un supplice d’ennuie tellement que ce personnage et sa vie sont fade. Comme dit, si au moins le gars était charismatique un minimum ou solliciterait un intérêt émotionnel, mais non, pas du tout, je n’ai même pas réussi à avoir de la sympathie pour lui. Je me suis fait chier comme pas possible. Le seul personnage qui suscite une émotion et son collègue polonais susmentionné, dont on a envie de le torturer avec les moyens les plus originales. Bref, donc dans ce livre insipide, seul un personnage entraîne un réflexe émotif, de haine certes, mais ça reste une réaction, contrairement au personnage principal aussi ennuyeux qu’une porte de prison.

Concernant la forme et bien ce n’est pas mieux, bien au contraire. J’ai eu l’impression que l’auteur de ce livre avec comme seul et unique but d’écrire une succession de phrases contenant le plus de mot clé lié de près ou de loin au terme « principe de précaution ». C’est terriblement lourd et indigeste. Une vidange des chapitres et des phrases n’auraient pas été de refus tellement qui possède des passages lourds et inutiles sans parler des conversions (ou plutôt monologue de Lionel, le collègue polonais) sont pénibles à lire et pas seulement à cause de leur dire.

Enfin bref, je crois que c’est le livre qui m’a le plus ennuyait et que j’ai le plus détesté de tout ce que j’ai lu, c’est dire.

Satisfaite de Hong Kong post et China post

J’ai lu beaucoup de plainte à propos de service de poste de China post et Hong Kong post. Evidemment, on a plus tendance à parler et raller à propos de ce qui ne marche pas et dysfonctionne ou lorsque des problèmes arrivent et trop peu lorsque l’on est satisfait.

Du coup, ce petit billet est là pour vous dire que je n’ai pas eu de problème ni avec Hong Kong post, ni avec China post. Qu’entre le moment où j’ai reçu le tracking number et leur arrivé à ma poste ou chez moi, cela a mis exactement une semaine pour les deux. Ils ont été postés le vendredi 17 et dimanche 19 août et j’ai reçu tous les colis et lettre en bon état ce lundi 27 ! Les délais annoncés sont généralement entre 7 à 20 jours, donc dans mon cas et une autre personne que je connais, nous avons tout reçu sur Helsinki en une semaine, mais il est possible que pour d’autre cela prennent un peu plus de temps, ou aussi en fonction du pays et de la ville de livraison.

Voilà, donc je suis satisfaite de ces deux postes. Mais après sa reste des services postaux, donc il se peut qu’il y ait des retards, des pertes de colis etc, mais c’est valable pour toutes les postes. Du coup, si vous hésitez à vous faire livrer depuis la Chine, sachez qu’il n’y a pas de souci avec leurs services postaux.

Enfin, pour rappelle, j’avais écrit un billet sur le suivi de son colis par Hong Kong post.

[Android] Laundry Tycoon

Je déteste vider la machine à laver, heureusement à la maison ce n’est pas moi qui l’a fait. Puis on ne repasse pas vu que le linge est sorti et étendu de suite après la fin de la machine. Bref tout ça pour vous parler d’un jeu de gestion de magasin de nettoyage de vêtement. En fait c’est surtout un jeu de gestion du temps, comme il en existe beaucoup mais cette fois ci le background étant la gestion d’une laverie.

Sauf que malheureusement, ce jeu est vraiment mal foutu et donne envie d’écrabouiller des chatons anorexiques.

Voici la liste des points négatifs du jeu :
pas d’amélioration des machines ou personnels, ce qui est super chiant surtout quand on progresse dans le jeu. La marche super mega lente, cumulée avec la non amélioration des machines, c’est une catastrophe. Elle prendre des détours pour rien, car elle ne peut pas marcher entre les machines ou autres espaces praticables. Donc vous cumulez ce dernier point au deux précédents et ça vous donne le pourquoi ce jeu est horrible à jouer. Le truc bien c’est la possibilité d’anticiper et coordonner ses prochains mouvements sauf que si vous vous plantez, vous ne pouvez plus le changer… Et paf du linge a oublié d’être repassé ! Sinon les graphismes sont moches. En fait ce jeu n’a rien pour lui hormis d’avoir une version lite (donc avec un bandeau publicitaire) qui permet de pas mal avant un possible achat, sauf que bon j’ai même pas tenu jusqu’au niveau de la laverie universitaire (3eme laverie débloqué par cumulé d’argent).

Ne prenez même pas la peine de le télécharger (la version lite sur trouve sur le google play, ainsi que la version payante à 1,14euros), il ne vaut pas du tout le coup même en version gratuite.