[Android] Laundry Tycoon

Je déteste vider la machine à laver, heureusement à la maison ce n’est pas moi qui l’a fait. Puis on ne repasse pas vu que le linge est sorti et étendu de suite après la fin de la machine. Bref tout ça pour vous parler d’un jeu de gestion de magasin de nettoyage de vêtement. En fait c’est surtout un jeu de gestion du temps, comme il en existe beaucoup mais cette fois ci le background étant la gestion d’une laverie.

Sauf que malheureusement, ce jeu est vraiment mal foutu et donne envie d’écrabouiller des chatons anorexiques.

Voici la liste des points négatifs du jeu :
pas d’amélioration des machines ou personnels, ce qui est super chiant surtout quand on progresse dans le jeu. La marche super mega lente, cumulée avec la non amélioration des machines, c’est une catastrophe. Elle prendre des détours pour rien, car elle ne peut pas marcher entre les machines ou autres espaces praticables. Donc vous cumulez ce dernier point au deux précédents et ça vous donne le pourquoi ce jeu est horrible à jouer. Le truc bien c’est la possibilité d’anticiper et coordonner ses prochains mouvements sauf que si vous vous plantez, vous ne pouvez plus le changer… Et paf du linge a oublié d’être repassé ! Sinon les graphismes sont moches. En fait ce jeu n’a rien pour lui hormis d’avoir une version lite (donc avec un bandeau publicitaire) qui permet de pas mal avant un possible achat, sauf que bon j’ai même pas tenu jusqu’au niveau de la laverie universitaire (3eme laverie débloqué par cumulé d’argent).

Ne prenez même pas la peine de le télécharger (la version lite sur trouve sur le google play, ainsi que la version payante à 1,14euros), il ne vaut pas du tout le coup même en version gratuite.

[Challenge Lecture] Le défi Cent pages

Je viens de m’inscrire à un autre challenge, proposé par la mère à TetedeLitote sur livraddict.
J’ai un an (en fait, jusqu’au 21 juin 2013, vu que je me suis inscrite un peu tard) pour lire des livres entre 100 à 150 pages.

Il y a 4 catégories et je choisis la catégorie L’envol. J’ai donc jusqu’au 21 juin pour lire plus de 15 livres entre 100-150 pages !

  • Première Gorgée: 3 à 5 ouvrages lus
  • Barbe à Papa: 6 à 10 ouvrages lus
  • Bavardages: 11 à 15 ouvrages lus
  • L’envol: plus de 15 ouvrages lus

Je mettrais les liens vers les critiques sur ce poste.

[Livre] Trafic de reliques de Ellis Peter

Moi, lire un livre qui se déroule dans des monastères avec des moines et abbés à fond dans la parole de dieu ?! Oui j’ai lu, c’était pour le challenge ABC 2012. J’en suis sortie indemne de Trafic de reliques de Ellis Peter, qui m’a donné un avis mitigé.

Une délégation de l’abbaye bénédictine de Shrewsbury, qui se rend au Pays de Galle récupérer les reliques de la sainte Winifred pour la rapporter dans leur abbaye. Sauf que sur place, tous les gallois ne sont pas d’accord de se séparer de Winifred. Le meurtre d’un leader de l’opposition et accessoirement personnage très important meurt. Père Cadfael mène son enquête.

En fait, il y quelque de truc que j’ai aimé dans ce livre, le meurtre et son enquête qui n’est pas banale. On a des idées de qui est impliqué mais sans certitude et encore moins sur la façon de procéder. Ca n’empêche pas que ce n’est pas un meurtre aussi simple que cela et ça c’est intéressant. Aussi, on acquière en même temps que Père Cadfael, les éléments et indices qui l’aideront à résoudre ce mystère et donc qui nous aident à mener notre propre enquête.

Aussi, les personnages sont vraiment charismatiques. Père Cadfael, qui est probablement le plus ouvert et logique de toute la bande de père et croyant, est un de mes personnages préférés avec Sinoed, fille unique d’un grand nom gallois possédant de vaste terre et château, qui a une forte personnalité. D’autre donne envie de les claquer car ils en font vraiment trop ou sont trop encrée dans « la parole de dieux » alors qu’il y avait une explication tout à fait logique à ça.

Mais même si ces deux points sont excellents dans le livre, ils sont gâchés par un style et un récit générales qui est trop ennuyeux, parfois lourd et pas mal chiant en général. C’est le genre de livre qui est ennuyeux dans son ensemble mais dont je suis allée jusqu’au bout car pas énormément de page (245 pages) et que je voulais savoir absolument comment s’est déroulé le meurtre etc. Disons qu’il y a des passages du livre qui aurait pût être raccourcies ou passés à la trappe. Donc au final, ce fût une lecture moyenne.

[Livre] Le monstre du lac Frome d’Arthur Upfield

J’avais bien aimé mon premier livre de Arthur Upfield, le méandre du fou, du coup j’ai réitérer l’expérience de cet auteur avec Le monstre du lac Frome.

La lecture c’est plutôt bien passé, d’autant plus qu’elle n’est pas super longue (184 pages). Sauf que du début jusqu’à la fin, j’ai eu l’impression de relire le méandre du fou tellement qu’il y a beaucoup trop de chose similaire et c’est plutôt dérangeant. Au point où au milieu du livre, j’ai eu peur d’avoir la même fin, mais heureusement non.

On suit à nouveau l’enquête de l’inspecteur Bonaparte sur le meurtre irrésolu d’un professeur passionné de photographie à la frontière des 3 états de l’Australie et dont il n’y a aucune trace, ni suspect, ni même de mobile. Il va donc mener son enquête en se fondant dans la masse et devenant un simple travailleuse à la réparation et entretiens des clôtures contre les dingos.

Comme pour Le méandre du fou, on suit l’enquête de Bonaparte en même temps que lui, nous avançons à ses côtés et découvrons peu à peu les éléments qui mettent la piste à l’oreille de Bonaparte. C’est d’ailleurs ce que j’aime bien dans les polars, avoir les yeux, les oreilles, l’odorat et les discussions de l’inspecteur pour avancer en même temps, avoir les mêmes indices et surtout essayer de résoudre l’affaire avant l’inspecteur à partir des mêmes éléments clés. Le rythme est le même et assez lent, c’est le même style, le même type d’enquête, plus ou moins les mêmes personnages etc. J’ai vraiment eu l’impression d’avoir une sorte de modèle similaire où seul le lieu et les noms des personnages changes. Bon, tout fois, j’ai trouvé la fin moins prévisible que l’autre livre.

Au final, ce n’est pas une mauvaise lecture en soit, c’est juste que j’ai l’impression que lorsque l’on en a lu un, on les a tous lu. Ce livre est vraiment trop similaire au le méandre du fou sur plein de niveau et ça a gâché mon engouement pour ce livre.

Je suis testeuse de jeu android pour le site Android-Games.fr

J’ai la grande joie de vous annoncer (bon je l’ai déjà fait sur twitter il y a quelque temps) que je fais partie des rédacteurs de critique de jeu vidéo sous android sur le site Android Games.

J’ai pour le moment posté que trois tests de jeu et j’essaie de dénicher des jeux totalement perdus dans les plaines abyssales du google play, mais pas que évidement.

Android-Games.fr est vraiment un site sympa pour découvrir de nouveau jeu grâce à ses tests vraiment bien faits (non je ne parle pas des miens mais de ce de Goudie) mais aussi pour rester informer sur l’actualité du jeu android.

Je compte bien continuer dans ma lancée de test de jeu android pour vous proposer des jeux vraiment sympas, intéressants, bien foutus ou novateurs. Pour les jeux de merde, vous continuerez à les trouver sur ce blog.

Quoi qu’il en soit, n’hésitez pas à jeter un œil sur le site Android-Games.fr !

[Android] Garfield’s Diner

Les jeux causual de type gestion de restaurant (ou autre) peut être vraiment excellent et addictif. Il faut notamment gérer les clients, répondre à leur attente, se faire un max d’argent, améliorer son restaurant etc. Il n’y a généralement pas tant de gestion que ça, vu que se sont plus des jeux de rapidité et de gestion du temps, servir tous les clients sans qu’aucun ne se fasse et ne quitte sans payer en fonction de leurs goûts, envies etc. L’un des meilleurs jeux du genre est la saga des Diner Dash, qui sont vraiment très bien fait. Sauf que malheureusement, il y a aussi énormément de merde dans le lot et parmi elle, voici Garfield’s Diner sur Android. Honnêtement, les gens qui lui mettent 5 étoiles sur le google play, n’ont apparemment jamais joué à Diner Dash par exemple. Vraiment, c’est de la merde hein !

Dans Gardfield’s Diner, le but est donc de servir des clients et de les rendre satisfaits de votre restaurant. Sauf que tout y est pourri. Les animations sont à chier, on voit Gardfield ou un autre guss dandiner du cul et des mains en l’air alors qu’il est sensé préparer le plat. Sauf qu’en fait ils ne sont pas en train de préparer un plat vu que le client est déjà en train de manger en même temps que ce dandinement horrible.

La gestion des clients est plus que basique, les faire asseoir à l’emplacement voulu et les changer en fonction de ce qu’ils veulent manger. Aucun autre élément potentiellement ennuyeux ne les dérange, sans compter qu’il y a que quelque client à la tête différente mais dont le comportement est exactement le même (il y a pas le vieux qui prend son temps, l’homme/femme d’affaire très pressé, etc). Donc un jeu absolument inintéressant et sans réel challenge.

Enfin, c’est un jeu de type « pay-to-win » où pour pouvoir faire évoluer votre restaurant, vous devez payer de votre poche avec donc votre argent réel !

En conclusion, Garfield’s diner (ou nommé la brasserie de Garfield en Français) c’est de la grosse merde, je vous conseille d’aller faire un tour du côté des Diner Dash qui sont disponibles sur PC sur après sur android, je ne sais pas. Si toute fois vous souhaitez le tester il est disponible sur le google play gratuitement.

Les étapes de suivi d’un colis via Hong Kong Post

Si comme moi, il vous arrive d’acheter des choses qui viennent directement depuis la Chine et principalement Hong-Kong, votre colis passe par Hong Kong Post (ou alors il peut passer par China Post) et vous avez un numéro de tracking qui est du type R**********HK. Le seul problème étant que vous ne savez pas qu’elles sont les différentes étapes d’envoi du colis. Du coup les voici :

Une fois que votre colis est pris en charge par la poste de Hong Kong (ça peut prendre quelques jours après que vous ayez votre numéro). Le tracking steps est:

  1.  »The item R**********HK was posted on (date). » Le colis a été scanné et enregistré.
  2. « The item R**********HK was posted on (date) and is being processed for delivery to the addressee. » Le packet est en train d’être pris en charge.
  3. « The item R**********HK is being processed for departure from Hong Kong as of (date). » Le colis est en train d’être préparer pour son départ de Hong Kong.
  4. « The item R**********HK will leave Hong Kong for its destination on (date). » Le paquet va être expédié de Hong-Kong (Chine) pour la destination voulue à la (date).
  5. « The item R**********HK left Hong Kong for its destination on (date). » Le colis a quitté Hong Kong pour sa destination à la (date).

Il se peut que certaine étape ne soit pas indiqué, car elle se déroule la même journée et donc vous visualisez uniquement la dernière étape en cours.

Cette étape 5 étant la dernière à suivre sur le site de Hong-Kong post, le colis est en court d’acheminement et il prendra quelques jours pour arriver au pays de destination. C’est à ce moment-là que la poste de votre pays prend en charge le relaie et l’acheminement de votre colis. Le tracking se fait donc via le site de la poste de votre pays (La poste pour la France, Posti pour la Finlande etc). Comme c’est un colis provenant de pays hors-EU (union européenne) il doit passer par la douane pour y être déclaré et potentiellement pays des frais de douane et la TVA.

Enfin, voici le lien du site de tracking de la poste d’Hong Kong post. Pour China Post, le numéro de colis est de type RXXXXXXXXXXCN et vous pouvez le suivre sur le site de China Post.

Compte rendu du meeting Zebrafish

A la demande générale de MarieShani Pinkfear, je vais vous faire un petit résumé de ma semaine au Zebrafish school à Helsinki. C’était une semaine de séminaire et cours pratiques sur l’utilisation du zebrafish (le poisson zèbre ou encore le danio rerio, trouvable très facilement dans tout magasin d’animaux qui vend des poissons). J’avais pas mal twitter sur le contenu du séminaire sans aller dans les détails poussés. Dans ce résumer, je vais faire un bref compte rendu de ce que j’y ai appris sans entrer dans les détails, puis apporter quelques informations et brève de comptoir qui m’ont marqué.

Niveau contenue des conférences (1 intervenant interne, 3 intervenants extérieurs dont 2 récurant) et travaux pratiques, on a eu beaucoup d’éléments de base sur le poisson. Son système locomoteur et comment le filmer, comment les maintenir dans des conditions optimales, les faire reproduire, récupérer les œufs, faire des injections à l’intérieur du jaune d’œuf (qui se dit yolk en anglais, chose découverte durant ces cours) etc. Donc pas mal de pratique et théories générales sur ce poisson ou plutôt sur les larves de zebrafish est c’est là, l’une des critiques que je vais faire plus tard dans le billet.

Puis nous avons eu la partie plus technique et scientifique concernant l’utilité du zebrafish en recherche. Le zerbrafish est un vertébré, il a donc énormément de points communs avec l’être humain. Il y a des structures du système nerveux bien conservées, des neurotransmetteurs et hormones identiques et des gènes en commun avec l’être humain, mais ça reste évidemment un poisson, donc tout n’est pas développé en matière de cerveau, et il y a évidemment beaucoup de différence aussi en terme de système nerveux etc. Mais comme pour tout modèle animal, ils servent à répondre à une question précise et sur un aspect précis d’une maladie humaine. Quoi qu’il en soit, une mutation chez le zebrafish (malheureusement je ne me rappelle plus de laquelle) a permis d’identifier le gène impliqué dans une maladie génétique rare chez l’Homme, donc oui, l’utilisation du zebrafish est utile en fonction des questions posées et maladies étudiées. Aussi, par exemple, le dernier intervenant bosse sur les gènes et protéines liés à la pigmentation (gène MITF et COX), une mutation dans MITF chez l’Homme entraine un grave problème de pigmentation et/ou non accompagné de surdité, c’est le syndrome de Waardenburg de type II (la page wikipedia FR est vraiment incomplète, du coup voici la version anglaise sur ce syndrome), chez le poisson zèbre, la mutation de ce gène entraine aussi une non pigmentation. Donc l’étude de ce système et de la régulation de la pigmentation chez le poisson zèbre permet de comprendre son fonctionnement et surtout de trouver des cibles thérapeutiques pour les personnes souffrantes de ce syndrome ou d’ailleurs d’autres types associés à ces gènes/protéines.

Là, où techniquement, c’est un plus, concerne l’aspect génétique. Il est très facile de supprimer l’activité d’un gène (utilisation de morpholino, qui sont des ARN non-sens, donc en se fixant à l’ARN voulu, ils vont empêcher leur traduction et donc de créer la protéine en question). Il est possible de faire de l’optogénétique, qui est de marquer un gène voulu avec un gène lié à une opsine (sensible et s’active ou s’éteins en fonction de la longueur d’onde de lumière utilisé). Donc une fois le modèle génétique construit, un flash lumineux permet de révéler l’activité du gène lié à cette opsine. Aussi les larves de ce poisson sont transparentes et donc il est très simple de visualiser les marqueurs phosphorescents associés à l’activation des gènes voulus. Bref, on peut utiliser plusieurs techniques de modification génétique chez le zébrafish. Enfin, ce poisson est petit donc ne prends pas de place en terme de stockage, ça peut produire pas mal d’œuf d’un coup, c’est facile d’en avoir énormément et d’en produire au laboratoire etc, donc facilité et coût réduit comparé à des rats par exemple. Mais ça ne peut pas et ne remplacera pas l’utilisation du rat ou de la souris.

J’ai apprécié cette semaine de conférence, mais deux trois points seraient à revoir d’après mois. Nous avions des chercheurs qui étaient uniquement et seulement intéressait par les larves de ce poisson. Ce qui est en soi est très intéressant, mais au final on a rien eu sur le poisson adulte, pas d’exemple de recherche à son sujet, pas d’info à son sujet, rien sur son développement du système nerveux ou cancéreux ou ce que vous voulez. On est resté au stade larvaire. Maximum 7 jours post fécondation. Super ! Alors que justement il y a aussi tant de chose à apprendre sur l’évolution du système nerveux par exemple. Car au stade larvaire, c’est très primitif hein, ce sont majoritairement des comportements stéréotypés, le cerveau n’est pas développé, le système sensoriel est « développé » et encore qu’à partir de quelques jours après fécondation, bref rien de bien folichon quoi.

J’ai en fait, appris que s’ils utilisent que la larve, c’est parce qu’il n’y a pas besoin d’autorisation pour l’utilisation expérimentale du zebrafish jusqu’à 7 jours. Donc avant 7j (ou rien n’est développer quoi), il est possible de faire des expériences sont avis des comités d’éthiques. Après 7j il le faut. Sauf que comme dit, le stade larvaire ce n’est pas développé du tout et donc oui, ça permet de répondre à pas de question (lié au développement, pigmentation, localisation des régions contenants la production de certain neurotransmetteur etc) mais en rien sur le comportement, ni sur du long terme ou chronique (toxicité, étude du développement nerveux à l’âge adulte en fonction de différents facteurs etc).

Le truc, c’est qu’ils sont tellement bornés dans les larves de poisson que lorsque j’ai osé dire qu’il serait intéressant de voir sur du long terme avec des poissons adultes, l’un m’a répondu « i don’t care about adult fish ». Je me suis dit « Pff encore un chercheur qui pète plus haut que son cul et ne s’intéresse à strictement rien d’autre que son sujet précis », super quoi, vive les échanges avec ce genre de type ! Aussi j’aimerais étudier les mécanismes de la douleur avec comme modèle animal le zebrafish, donc évidement, utilisation du poisson adulte et bien sûre autorisation éthique (chose que le labo sur Helsinki a d’ailleurs !). Puis le même mec, qui m’a sortie qu’il s’en foutait des poissons adultes, me sort que ce qui bosse sur la douleur chez le poisson sont mal vus (en fait quasiment personne bosse dessus) car ça risque d’entrainer les demandes d’expériences obligatoire pour l’utilisation de ce poisson ! J’avais juste envie de lui dire « oui mais mon coco, non seulement tu ne bosses que sur la larve 7 jours maximum, car tu n’as pas besoin de faire des demandes d’autorisation expérimental, en plus t’en a rien à foutre des autres sujets de recherche et enfin tu ne comprends pas que la recherche du domaine de la douleur c’est à but médical et non pour te faire chier au risque de te faire faire de la paperasse en plus. » m’enfin bon.

Enfin, j’en viens du coup à la dernière remarque sur ce zebrafish school, qui concerne le contenu des intervenants. Alors certes, étudier les bases du zebrafish c’est plus qu’utile, mais sur une semaine, seul le dernier intervenant nous à donner un véritable sujet d’étude concret de poisson zèbre comme animal modèle (celui de la pigmentation, il utilise la larve de zebrafish) d’une maladie humaine. Les autres non, ou alors c’était sous-entendu ! Etudier le reflex acoustique chez la larve de poisson (recherche utile !) et la diapo d’après parler dire que c’est un des problèmes chez les schizophrènes… bof quoi, d’ailleurs dans ce cas, le rat reste l’animal modèle à utiliser.

Bref, tout ça pour dire que le poisson zèbre est définitivement un modèle animal valable en fonction des mécanismes étudies, mais qu’évidement il ne remplace ni le rat, ni la souris. Sinon sur la feuille des remarques et suggestions concernant ce meeting, j’ai bien précisé qu’il faudrait plus de conférence sur le poisson adulte et son utilisation en tant qu’animal modèle

[Crédit photo]

[Livre] Le Carrousel des Maléfices de Jean Ray

Si j’ai lu Le Carrousel des Maléfices de Jean Ray c’est uniquement à cause de son titre. Je ne connais pas du tout Jean Ray. C’est ne recueil de nouvelle de 257 pages dont voici la liste des nouvelles courtes :

  • Mathématiques supérieures
  • La tête de monsieur Ramberger
  • Bonjour, Mr. Jones !
  • Histoires drôles
  • Têtes-de-lune
  • Le banc et la porte
  • Croquemitaine n’est plus…
  • Puzzle
  • L’envoyée du retour
  • La sotie de l’araignée
  • Le beau dimanche
  • Le « Tessaract »
  • La sorcière
  • Les gens célèbres de Tudor Street
  • Trois petites vieilles sur un banc
  • La conjuration du lundi
  • Un tour de cochon
  • Smith… comme tout le monde…
  • Le formidable secret du pôle

Je m’attendais à un livre fantastique et/ou horreur, un livre qui me fout bien la trouille. D’ailleurs, je suis bien peureuse lorsqu’il s’agit d’horreur et fantastique dont je prends plaisir à lire. Sauf que là, rien, pas un frisson, pas une image qui me donne la chair de poule, rien. Il y a juste deux ou trois des nouvelles que j’ai apprécié, non pas pour leur côté fantastique mais parce qu’elles ne tombaient pas à plat. Car justement, ce n’est pas tant le fait que ce livre ne m’a pas fait frissonner qui m’a gênée, mais que les histoires tombent à plat et d’ailleurs elles sont platoniques. C’est d’ailleurs un des problèmes des nouvelles, comme c’est des histoires courtes, il faut réussir à les rendre intéressantes et avec une fin qui l’est aussi. Hors j’ai vraiment eu l’impression que ce n’était pas le cas ici, bien que le style est classique et simple, donc lisible sans soucie. Enfin, je ne sais pas si c’était un choix délibéré comme thématique ou s’il a un problème avec les docteurs (au sens large, donc doctorant inclus) mais ils sont très récurant comme personnages principaux dans ce recueil de nouvelle.

Enfin bref, Le carrousel des maléfices fût une lecture très ennuyeuse avec des nouvelles pas terrible et qui tombent à plat !

[Android] Virtual Surgery

En téléchargeant Virtual Surgery, je m’attendais à une sorte de Trauma Center qui existe sur Nintendo DS, sauf que j’ai vite déchanté.

Je lance le jeu et non seulement ça me propose de rejoindre la communauté zeyap (bon ça encore ce n’est pas dérangeant) mais ça me propose aussi directement de la pub pour télécharger un jeu gratuit avant même de pouvoir jouer à virtual Surgery. Bref, ça commence mal.

Je commence mon opération qui est une opération du genou et à la fin, je me rends compte que c’est la seule et unique opération du jeu. A la fin ça s’arrête et vous propose encore la même pub de téléchargement.

Le jeu, en anglais, en lui-même démarre plutôt bien avec un chirurgien qui vous explique (vocalement avec les sous-titres en anglais) votre cas et étape par étape l’opération avec des minis questions à choix multiples pour comprendre certaines étapes. Sauf que c’est bien le seul point positif du jeu. Les interventions à faire sont minimales et sans possibilité de se tromper ou de mal agir vu que même certains gestes sont faits automatiques. Il n’y a donc absolument aucun challenge dans ce jeu !

Enfin et ce que j’appelle la plaie des jeux android, cette application possède un airpush, en gros c’est un spyware qui vous fait constamment apparaître des notifications de téléchargement de jeu. Sauf qu’évidemment on ne le sait pas avant le téléchargement (j’aurais dû lire les commentaires du jeu avant de le prendre). Je précise que le virus se désinstalle avec le jeu, donc une simple désinstallation suffit. Sauf qu’avant ça, ça reste très énervant d’avoir des notifications à n’importe quel moment nous proposer de télécharger des jeux aussi nul les uns que les autres !

Donc s’il y avait une seule et unique raison de ne pas télécharger ce jeu gratuit (disponible sur le google play) c’est bien à cause de son spyware airpush. Mais en plus ce jeu n’a aucun challenge, fun ou intérêt général, d’un ennuie ultime et en plus il n’y a qu’une seule opération faite en 5 minutes !